Paul Bertholle
Sam 9 Mar 2024 - 18:54
e suis dans un diner, il y a des gens du sud ouest, je les entend :
l'être le plus extraordinaire que j'ai rencontré, c'est Paul Bertholle.
Pourtant Paul s'habillait classique, avait des gouts petit bourgeois, il n'aimait pas tellement l'avenue Victor Hugo mais préférait les appartements plus petits où on est plus proche les uns des autres. Il était impressionné par les situations.
Alors ?
alors il était profondément humain, il sentait les gens, leurs besoins, leurs motivations. Il était prêt à les aider. Et souvent efficace.
Si on croit que celui qui apporte des briques à la maison des autres ne construit jamais sa propre maison, c'était bien son cas.
Ses enfants disent : "il ne nous a rien laissé sauf des dettes, nous les avons payées" Ma mère disait pire.
Je lui faisais remarquer qu'il lui avait tout apporté : la cuisine, l'Amérique, l'avenue Victor Hugo, Vouzeron, les Achille Fould, Mounette et Bertrand Depois. et surtout Henri de Nalèche.
Elle était attendrie : "j'ai beaucoup aimé Paul"
Elle le croyait immortel, qu'il se cachait quelque part pour éviter ses créanciers.
Nous savions qu'il était mort à l'hopital d'un cancer du foie, ma mère tenait mieux l'alcool, whiskies, portos, bière.
Perrine disait de Paul : "c'était le bon père" Il nous aimait, disait qu'il nous avait élevées, mariées.
Il aimait les jeunes, ils l'appelaient "l'inspecteur"
l'être le plus extraordinaire que j'ai rencontré, c'est Paul Bertholle.
Pourtant Paul s'habillait classique, avait des gouts petit bourgeois, il n'aimait pas tellement l'avenue Victor Hugo mais préférait les appartements plus petits où on est plus proche les uns des autres. Il était impressionné par les situations.
Alors ?
alors il était profondément humain, il sentait les gens, leurs besoins, leurs motivations. Il était prêt à les aider. Et souvent efficace.
Si on croit que celui qui apporte des briques à la maison des autres ne construit jamais sa propre maison, c'était bien son cas.
Ses enfants disent : "il ne nous a rien laissé sauf des dettes, nous les avons payées" Ma mère disait pire.
Je lui faisais remarquer qu'il lui avait tout apporté : la cuisine, l'Amérique, l'avenue Victor Hugo, Vouzeron, les Achille Fould, Mounette et Bertrand Depois. et surtout Henri de Nalèche.
Elle était attendrie : "j'ai beaucoup aimé Paul"
Elle le croyait immortel, qu'il se cachait quelque part pour éviter ses créanciers.
Nous savions qu'il était mort à l'hopital d'un cancer du foie, ma mère tenait mieux l'alcool, whiskies, portos, bière.
Perrine disait de Paul : "c'était le bon père" Il nous aimait, disait qu'il nous avait élevées, mariées.
Il aimait les jeunes, ils l'appelaient "l'inspecteur"
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